(c) Stéphane Kerrad On avait déjà pu apprécier ce jongleur de mots et d'émotions dans les spectacles " Pourquoi ?" ou " Je pionce donc je suis ". Cette fois, pour "Y'a d'la joie ! ", Michaël Hirsch met le curseur encore plus loin puisqu'il s'est donné pour mission d'apprendre la joie de vivre en un an ! Une mission vivement recommandée par sa femme qui affirme : "l a joie de vivre, ce n'est pas ton truc !". Sobrement mis en scène par Mikaël Chirinian et évoluant sur des é

(c) Patrick Berger Quasiment inconnue lorsqu'elle a débarqué de sa Belgique natale en avril dernier, Sarina a fait l'unanimité auprès des médias et du public lors de ses concerts à l'Essaïon. Dotée d'une voix assez exceptionnelle, elle touche sans chercher à nous émouvoir lorsqu'elle évoque la cécité qui l'a frappée alors qu'elle avait tout juste 16 ans. Une épreuve qu'elle a transformée en force, comme l'indique le titre du spectacle " Lève-toi ". Au début du récital, aucune

(c) Karo Cottier Avec " Chansons d'amour traficotées", "Femme Femme Femme"  ou " C'est Lalamour ! " le groupe vocal les Divalala s'était imposé en remixant avec une fantaisie totalement débridée, quelques classiques de la chanson. Cette fois, Angélique Fridblatt (ou Aurore Bouston), Gabrielle Laurens et Marion Lépine ont choisi d'élargir leur public en concoctant le savoureux " Choubidouwa ! " (sous-titré "tubes, comptines et rock n roll"). Un spectacle mis en scène par Nicol

(c) Clément Checoury Depuis son premier album solo " Azul ", les aficionados sont tombés sous le charme envoûtant du timbre de Claudia Meyer et des musiques latines qu'elle affectionne. Après un passage remarqué au Café de la Danse, en avril 2024, elle se produit cette fois dans la salle plus intimiste de l'Essaïon pour interpréter, en compagnie de son complice le percussionniste Marc Benabou "Marquito", les titres de son dernier opus " La Negra ". Un bel hommage à la grand

(c) Jena Baptiste Derieux Librement inspiré du documentaire des frères Maysles " Grey Gardens ", le spectacle " Les dépossédées " écrit et mis en scène par Yann de Monterno, raconte la sombre histoire de la tante et de la cousine de Jackie Kennedy. La première, Edith Ewing Bouvier Beale (campée par Marie Charlet), réfractaire aux codes de la haute société new-yorkaise, se retrouve reléguée dans une maison insalubre de Long Island où elle traîne son amertume. Une mise à l'écar